vendredi, mai 09, 2008

On ne peut s’avoir que par fragments sans affinités, que dans une forme de consentement à la dysharmonie.

intériorité fantasmée, en contre-plongée : arc brisé, né de l’équilibre des forces physiques, du sens de la structure et de l’esprit d’examen, et , simultanément, stalactites, colorées par diverses cristallisations, nichées dans les fissures, les failles et les interstices- elles finissent par combler, en trompe-l’œil, la vacuité (...)

çà et là, dans les intervalles, ruissellent voix, échos et harmoniques dissonants.

4 commentaires:

Anonyme a dit…

Bonjour Said,
je viens de m'apercevoir que tu disposes d'un blog dont le dernier post date de mai de cette année.Qu'est ce que j'y trouve à première vue? bien sûr de l'abscons et une équerre. La deuxième réglant le premier...souvenir de 1998, date à laquelle j'ai lu un de tes poèmes dans le bus numéro 4 à quelques 400 métres de la place Darcy.
Même trait, même sensibilité enrobée de grandiloquence et même géométrie Azuléjne.
Je m'en vais lire le reste...
Te souviens tu?
Qui suis je?

Di saïd a dit…

je donne ma langue au chat!
Saïd

Anonyme a dit…

Même la géométrie Azuléjne ne te met pas sur la voix!?
Pour info "azulejine" est emprunté à l'espagnol "Azulejos", motifs géométriques décorant murs et sols des palais maures.
Avec cela, il y a des chances que le chat te rende ta langue.

Di saïd a dit…

Hatim?

je t'appelle ce soir !

Saïd

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